Quelques citations de ma part dans un article de la journaliste Anaïs Brosseau, paru sur France Info le 10 juillet 2022 et accessible via le lien ci-dessous :
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"Si la triple infraction est confirmée, conformément au code du sport, l'athlète encourt une suspension de deux ans. "Selon les circonstances, elle peut être réduite, mais la sanction ne pourra être inférieure à un an", précise Pierre-Olivier Rocchi, avocat au barreau de Paris, spécialisé dans la lutte antidopage."
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""L'athlète mis en cause a tout intérêt à envoyer ses observations à l'AFLD, sinon l'institution va enquêter de manière non contradictoire", fait remarquer Pierre-Olivier Rocchi, selon qui l'enquête peut durer plusieurs mois."
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"Si la suspension du sportif est immédiate lors d'un contrôle antidopage positif, dans le cas d'un "no-show" ou d'un défaut d'obligation de localisation, celle-ci est facultative. "La décision relève de la présidente de l'AFLD. Avant de prononcer une suspension provisoire de l'athlète, elle doit lui avoir proposé de l'entendre", détaille l'avocat."
Publié le 11 juillet 2022